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Ville de Clermont Ferrand & GTB : un outil de supervision au service des collectivités

Bâtiment
Smart city

En 2005, les services techniques de la ville de Clermont Ferrand ont souhaité renouveler leurs outils de télégestion pour assurer le suivi de leurs bâtiments. Objectifs : être autonomes tant dans le déploiement de l’outil de supervision que pour en assurer l’évolution et la maintenance. Retour sur une conduite de projet exemplaire.

Client final
Partenaire intégrateur
Localisation
Clermont Ferrand, France

La ville de Clermont Ferrand exploite aujourd’hui plus de 200 bâtiments communaux avec le souci d’assurer le confort des occupants tout en maîtrisant les coûts énergétiques. S’équiper d’un outil de supervision performant, ouvert et permettant de fédérer et contrôler à distance les équipements techniques a été l’enjeu du projet.


La genèse du projet de Gestion Technique du Batiment


A l’origine deux services – la direction de l’énergie et la direction des sports – étaient équipés d’outils de télégestion, la première pour le suivi de ses chaufferies et la seconde pour le contrôle d’accès et l’intrusion.

En 2006, un projet fut mis en place avec l’objectif de regrouper ces 2 services et déployer un outil de supervision fédérateur de l’ensemble des installations.

L’état des lieux et le recueil des besoins réalisés, un cahier des charges fut rédigé mettant en avant la nécessité de fédérer les systèmes existants et le besoin d’un système ouvert basé sur :
-    Une architecture client/serveur avec consultation web ;
-    Gestion multi-fenêtrage ;
-    Niveaux d’alarmes paramétrables ;
-    Gestion d’astreinte ;
-    Communication multi-protocoles ;
-    Facilité de paramétrage ;

Fin 2007, l’appel d’offres est lancé : la société SN Apilog Automation est retenue avec une solution de supervision Topkapi .

Un outil de supervision apportant autonomie et efficacité


Outre la fourniture des licences nécessaires à l’exploitation des installations, la société SN Apilog Automation est chargée de mettre en place l’ergonomie de navigation dans le logiciel, la supervision d’un site pilote et une assistance à la conduite de projet. Une formation de cinq jours est dispensée au service télégestion composée de quatre personnes d’origines techniques très variées, ayant la charge de déployer l’ensemble de l’application. « La prise en main du logiciel Topkapi n’a pas posé de problème particulier » souligne Thierry Hoarau le responsable du service télégestion.


L’architecture retenue consiste en un poste central permettant de prendre en charge des automates Sofrel et Wit via des liaisons IP (60 à 70 % du parc) et des liaisons RTC (Réseau Téléphonique Commuté). Aujourd’hui, plus de 40 personnes ont des droits d’accès à l’application par Internet Explorer grâce au portail Web généré par l’outil de supervision Topkapi. Des accès par clients distants sont également disponibles notamment pour le service thermique afin d’intervenir sur le paramétrage des automates et des régulateurs.


Le client léger Topkapi utilisé ici permet une conduite complète et performante à distance ; c’est en fait un composant téléchargeable de seulement 8 Mo s’installant et se paramétrant en moins de cinq minutes.
L’ouverture de la plateforme à de multiples utilisateurs et aux différents services de la collectivité en fait un outil indispensable et utilisé au quotidien : par exemple pour les gestionnaires des locaux (groupe scolaire) ou encore pour la direction de l’espace public avec un usage peu banal qui en astreinte hivernale surveille les températures extérieures en des points stratégiques lui permettant d’intervenir rapidement pour le salage des routes et chaussées.


L’application assure le suivi des alarmes techniques, des alarmes incendie et des courbes de température de chauffe dont l’analyse permet de détecter les dysfonctionnements ou les dérives des équipements. Le module Bilans de Topkapi est également utilisé pour exploiter les informations de comptage et générer des rapports de consommation énergétique dans une optique d’optimisation.


Aujourd’hui, 78 bâtiments sont supervisés (soit plus de 12 000 points télé-gérés) et près de 120 devraient l’être à terme.